Pénétrer le geste :
Le travail de pâtissier offre à la fois des tâches uniques et répétitives.
A force de pratique, les tâches répétitives quasi-quotidiennes permettent à l’attention de s’effacer.
Le geste n’est alors plus effectué mais vécu.
C’est ainsi que nous pénétrons le geste pour l’habiter.
Nous quittons le FAIRE pour arriver à l’ÊTRE.